samedi 25 avril 2015

Cohue asiatique et vol cinématographique

5h00 : avant peur comme d'habitude de ne pas entendre le réveil, je suis déjà levé
Kumiko va bien, aussi bien au niveau du dos que des ganglions. Les médocs font effet !
6h15 : départ de la maison, nous prenons congé de la mère de Takayoshi
6h54 : départ en autocar
8h14 : arrivée au terminal international de l'aéroport de Fukuoka

C'est la première fois que nous repartons de cet aéroport. Le hall du terminal est assez grand, mais mal organisé et pour l'enregistrement des bagages il y a une queue interminable, sans exagérer au moins 800-900 personnes, en grande majorité des coréens et des chinois. Fort heureusement, pour KLM la file d'attente est beaucoup moins longue et vu que nous avons fait le check-in via Internet la veille, nous passons en priorité ;-).

10h25 : nous nous envolons pour Amsterdam
Pendant que Kumiko passe son temps à admirer les paysages sibériens, je poursuis mon exploration des films proposés et de nouveau ne dors absolument pas.


Mon programme cinoche : "Hunger Games: Mockingjay - Part 1", adaptation du 3ème roman dans le monde de Panem. Pas mal, mais avec beaucoup de longueurs. Encore une fois, il aurait mieux valu ne pas partager l'adaptation du livre sur deux films...
Ensuite, "The Hundred-Foot Journey", le dernier film de Lasse Hallström (Gibert Grape, Chocolat, etc.). La bonne surprise de ce vol ! L'histoire assez prévisible, mais fort sympathique d'un jeune cuisinier indien dont la famille, après avoir tout perdu en Inde, vient s'installer dans le sud de la France et ouvre un restaurant juste en face d'un établissement de cuisine française qui a une étoile au Michelin.
3ème film : "The Maze Runner", un film de science-fiction qui raconte l'évasion d'un groupe de jeunes d'un labyrinthe où ils servent de cobayes pour une mystérieuse expérience. Je m'attendais à un bon nanard et en fait c'était pas mal du tout, ça donne même envie de voir la suite !
4ème film : "Lucy" de Luc Besson. Je m'attendais à une sorte de Nikita avec Scarlett Johanson. En fin de compte, le début est très bien, alternance bien filmée de scènes d'action et de la présentation pseudo-scientifique de la thèse du film. Et au milieu du film, ça devient du grand n'importe quoi, c'est comme s'ils avaient oublié d'écrire la fin du scénario... Et Scalett est même pas vraiment sexy dans ce film...
5ème film : je fais plusieurs tentatives, rien ne me plait, je me rabats donc sur des épisodes de séries TV américaines jusqu'à la fin du vol.

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